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Toi,
Tu peux croire
à la limite
tant que tu n’en fais pas
une fin en soi
mais
un unique commencement à tout ;
alors, tu peux croire
à la puissance et à la démesure
de cette limite
toujours ouverte
sur l’infini.
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C'est pourquoi si nous nous croyons vivants nous avons raison, mais devons-nous connaître que ce que nous manifestons et accomplissons n'est que notre état de mort que manifestent le vieillissement et la vulnérabilité de notre condition de finitude qui inclut notre être d'infinitude en le dissimulant à notre perception, tandis qu'inversement ce dernier dans le premier n'a de cesse de se renouveler dans le commencement de nous-mêmes
"Et lors même que notre homme extérieur se détruit, notre homme intérieur se renouvelle de jour en jour". (Bible)
C'est pourquoi le vieillissement consiste dans la manifestation de notre état mortel intrinsèquement réversible de notre état vivifiant.
L'oubli de nous-mêmes selon la finitude de la perception des choses au passé s'exprime par le vieillissement, la maladie, l'accident, le négatif en général en concomitance contraire avec le positif en général de l'état vivifiant de notre réalité dans le futur au commencement de nous-mêmes.
C'est pourquoi le réveil de la conscience par la transmutabilité de la perception, ayant lieu actuellement selon la prééminence du passé, sur la connaissance des choses au futur permettra le rétablissement radical de la condition universelle
Cependant, la perception des choses au passé pour la manifestation du vieillissement et du négatif en général, consiste, en L'UN, dans l'immanence de la Justice en conséquence de sa caractéristique d'intro-réversibilité qui oppose la réincarnation à la résurrection.
En effet, d'après L'UN intrinsèquement réversible, la réincarnation et la résurrection ne sont pas incompatibles comme l'insuffisance théologique de la dogmatique religieuse en général l'a décidé et proclamé, en abolissant l'une pour favoriser la croyance en l'autre.
Car, constitutives de L'UN, la réincarnation et la résurrection sont intrinsèquement réversibles l'une de l'autre et n'existent que dans la prééminence de la perception canalisée tout entière sur l'une ou sur l'autre, la réincarnation pour maintenir la destruction des choses éternelles, et la résurrection pour la restauration de ces mêmes choses.
La réincarnation, qui s'étend, comme pour le cercle (figure 4), dans la perspective infinie des cycles de la rémanence spontanée de L'UN dont la perception, coupée du futur et de l'infiniment grand, en accomplit chacune des manifestations dans la destinée réformatrice de la liberté du bien et du mal en soi, de cycle en cycle, jusqu'à ce que la conscience ait pu délibérément rétablir la perception exclusive du bien à l'origine du commencement dans le futur.
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Etant donné que chaque manifestation de l'infinité est représentative de L'UN en étant intrinsèquement réversible de l'infinité elle-même, rien ne se trouve séparé de rien, et tout est lié dans la conscience universelle.
Ainsi, chacune des manifestations de l'infinité, de manière individuelle est responsable en elle-même des actions de l'infinité. Et chacune est responsable de ses propres actions en en rendant tout autant responsable l'infinité en elle-même. Car chaque manifestation de l'infinité et l'infinité elle-même sont L'UN.
C'est pourquoi, chacune des manifestations de l'infinité est responsable, en elle-même, du règne minéral, du règne végétal, du règne animal dont l'espèce humaine, et du règne cosmique, en en faisant en elle, d'un cycle à l'autre de sa rémanence dans la perception universelle selon ses oeuvres passées, un sujet plus ou moins de bien et plus ou moins de mal. Car, en L'UN, l'immanence de la Justice, dans le déroulement cyclique des choses au passé, cristallise en chacune le destin universel de l'infinité selon l'oeuvre personnelle de chacune.
Ici, est-ce cette Justice en L'UN qui, par essence, donne tout leur sens aux phénomènes de la réincarnation et de la résurrection en faisant que pour un seul juste parmi l'espèce humaine, d'après L'UN intrinsèquement réversible, l'infinité trouve en lui la justice de la paix par la rédemption.
C'est pourquoi croire en ce seul juste qui est inclus dans le souvenir individuel de tous et dont le souvenir universel ramène tous à L'UN, a le pouvoir de rétablir dans la perception de tous, grâce à la résurrection, cette Justice par l'appel et l'élection de la parfaite primauté en soi de ce seul juste, en évitant ainsi la voie de la réincarnation qui bibliquement est appelée "la loi".
La réincarnation et la résurrection sont intrinsèquement réversible dans la perception de la mémoire absolue et infinie, et de ce fait éclairent le mystère de la rédemption.
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Car la voie de la réincarnation implique inlassablement une suite de cause à effet dont l'effet devient à son tour la cause d'un autre effet, si bien que nul ne pourrait sortir de cette voie par ses actes personnels loin d'être parfaits, étant sans cesse remis en cause par ce rythme ininterrompu de la conséquence inéluctable : Jésus dit "vos oeuvres vous suivent" (Bible).
C'est pourquoi, par la réincarnation et la résurrection, la Justice immanente de L'UN peut s'accomplir en ce sens qu'il fallait un homme pour vaincre le mal des hommes grâce au Christ, représentatif de L'UN en tant que souvenir universel de l'infinité selon la vie et le bien absolus, qui peut en Jésus, Homme parmi les hommes vaincre le mal des hommes.
Cet UN, juste, selon son absolument tout en lui, comme explicité plus haut, consiste dans les prémices du Christ en Jésus, dans la Bible, qui dès le commencement dans le futur contiennent l'infinité.
Cette primauté du Christ représentative de l'infinité logée dans la personnification charnelle de Jésus, consiste dans la promesse établie de toute éternité du rétablissement de cette infinité grâce à la résurrection de Jésus qui a lieu à tout moment et à chacune des manifestations de l'infinité (figures 1 et 3) dans le mouvement en soi du retour, c'est-à-dire dans le futur, dès ce commencement sauvegardé dans le souvenir universel de Jésus-Christ, jusqu'à ce que le grand réveil collectif de la conscience se produise de manière radicale dans la perception universelle.
Le cycle "actuel" qui accomplit L'UN en chacune de ses individualisations dans le champ de la perception de l'infiniment petit et du passé qui correspond à la voie de la réincarnation, s'englobera, transmutée pour l'éternité, dans cette perception, tandis que l'intro-réversibilité de cette perception poursuivra simultanément dans le cycle suivant, l'accomplissement de L'UN selon son auto-production en ses individualisations sans cesse renouvelées de cycle en cycle dans l'infinité mais sans cesse rendues à L'UN pour ne jamais en être séparées étant conservées intactes dans le souvenir universel du Christ en Jésus.
En accomplissant sa Justice dans la voie de la cause et de son effet qu'est la réincarnation déroulée dans l'étendue du passé et de la finitude, L'UN, par le Christ incarné dans ce seul juste en Jésus, accomplit son acte de création en s'individualisant dans l'infinité.
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Chaque individualisation de L'UN est double pour être en terme biblique, une âme en tant que souvenir individualisé de la mémoire universelle mais à deux dimensions intrinsèquement réversibles l'une de l'autre, l'une dont la forme matérielle disparaît dans l'oubli ou le néant de l'illusion universel qu'est la voie de la réincarnation pour en faire la mortelle, l'autre dont la forme spirituelle ramène la vérité du souvenir vivant et éternel de Christ en Jésus pour en faire l'immortelle, la première pour permettre à chaque individualisation de L'UN le réveil délibéré de la conscience grâce à la maturité de la perception intérieure de la seconde en Jésus-Christ.
Mais de l'une à l'autre, en chaque individualisation de L'UN, et d'une individualisation de L'UN la multitude, il ne s'agit que de L'UN.
C'est pourquoi, l'acte de création qui a lieu en Jésus-Christ et par Jésus-Christ, établit la Justice de la liberté et de l'indépendance indissociables du phénomène de l'individualisation, pour rester l'acte d'amour et de don de soi de L'UN manifesté par le Christ en Jésus au profit de l'infinité afin que celle-ci soit régénérée dans le perpétuel retour à L'UN selon le souvenir vivant et authentique de son ineffable perception.
Car L'un intrinsèquement réversible, en cette représentation mathématiquement vivante de la mémoire (figure 1 et 4), fait du souvenir éternel en L'UN l'acte de création qui n'est plus une pulsion au départ de toute chose, mais bien l'équilibre intrinsèque à toute chose pour qu'en maintenant le centre personnifié par Jésus-Christ et commun à toute chose, en toute chose et jusqu'aux extrémités de toute chose, toute chose soit ce centre lui-même en accomplissement et en témoignage essentiellement de l'amour universel remplissant toute individualité afin de lui permettre d'exister en lui-même et par lui-même absolument pour elle-même.
En L'UN intrinsèquement réversible, la réincarnation et la résurrection, parce qu'étant les expressions contraires de la destinée se servent mutuellement afin que soient partout et éternellement données à l'Etre, du mensonge de l'oubli et de la haine à la vérité du souvenir et de l'amour en lui-même, la liberté, la félicité, et la paix du parachèvement de sa transmutation dans le symbole du Graal ou dans celui de la pierre philosophale de la vie éternelle.
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Il est certain que cette analyse métaphysique de L'UN intrinsèquement réversible à travers le V.I.T.R.O.L. des alchimistes
qui rejoint en les éclairant, comme le mystère de la Trinité, les énigmes les plus profondes et les plus scientifiques de la Bible, pour la révéler comme étant, en autre, le plus puissant traité d'alchimie, ne peut que rassembler autour de l'expérimentation technique en rapport à ses caractéristiques mathématiques toutes les disciplines de la Science qui, pour avancer, devront aborder la "matière" comme n'étant que la manifestation vibratoire plus ou moins dense, selon qu'elle est plus ou moins éloignée en conscience de la vérité, et qu'elle soit considérée de manière individuelle ou collective, du phénomène de la perception intrinsèque de la mémoire absolue et infinie.
En effet, plus la conscience individualisée ou collective s'éloigne de la perception de son souvenir éternel, plus l'oubli d'elle-même la manifeste selon la forme néantisante du souvenir par la matière de plus en plus lourde et dense, de plus en plus vulnérable et finissante.
Inversement, plus cette conscience se réveille dans le souvenir éternel d'elle-même, plus elle en manifeste la légèreté, la fluidité, et les caractères spiritualisés de la puissance de sa perception renouvelée.
De même en est-il de toute chose dans la relativité de la perception universelle, comme en ce qui concerne les métaux comme le mercure par exemple.
D'un point de vue alchimique en rapport parallèle avec la vie éternelle, l'intervention technique d'après L'un intrinsèquement réversible fondé sur l'interversion des directions de l'espace d'un sujet donné, peut permettre d'extraire des métaux comme du mercure par exemple, chacun contenant tous les autres à l'infini, de l'or simplement en parvenant à remplacer à l'intérieur du métal traité la polarité prééminente du passé en celle du futur afin que ce métal, à partir de l'or qu'il contient en son intro-réversibilité, produise de l'or aussi indéfiniment que dans ce contexte mathématique le futur consiste dans la perception universelle du commencement infiniment grand.
Il est certain que la performance mathématique et métaphysique de L'UN intrinsèquement réversible dans tous les domaines de la technique et de la technologie, contrairement au savoir faire actuel qui reproduit l'observation incomplète de la représentation en trois dimensions avec en conséquence une déperdition d'énergie et de matière et une récupération de déchet, contient dans le but de l'auto-production et de l'auto-régénération en général un immense potentiel d'intervention fondé, relativement à la réalité en quatre dimensions surl'interversion intrinsèque des directions de l'espace d'un système technique conçu par montage comme mes (1) générateurs autonomes d’électricité, ou d'un sujet donné comme la mémoire, la cellule, l'être humain, l'espace-temps et l'Univers, mais encore les métaux chacun contenant en son intro-réversibilité tous les autres à l'infini tel que le mercure en vue de sa transmutation en or.
                                                                                 
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« Si je n’ai pas la charité, je ne suis rien. » « Si je n’ai pas la charité, cela (toutes mes bonnes actions) ne me sert de rien. »
Bible : 13/2,3.
« Réveille-toi, toi qui dors, relève-toi d’entre les morts, et Christ t’éclairera. » Bible : Ephésiens 5 :14
« J’ai reconnu que tout ce Dieu fait durera toujours, qu’il n’y a rien à y ajouter et rien à en retrancher, et que Dieu agit ainsi afin qu’on le craigne.
Ce qui est a déjà été, et ce qui sera a déjà été, et Dieu ramène ce qui est passé. » Bible : Ecclésiaste 3/14,15
« Et lors même que notre homme extérieur se détruit, notre homme intérieur se renouvelle de jour en jour. »
Bible : 2 Cor. 4/16
« parce que nous regardons non point aux choses visibles, mais à celles qui sont invisibles ; car les choses visibles sont passagères, et les choses invisibles sont éternelles. »
Bible : 2 Cor. 4/18
(1) Se référer aux documents édités par les 3 « C » Centre de Création Collective du peintre à la croix d’or, et protégés par dépôt légal).
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Qui accusera les élus de Dieu ? C’est Dieu qui justifie !
Qui les condamnera ? Christ est mort ; bien plus, il est ressuscité, il est à la droite de Dieu, et il intercède pour nous !
Qui nous séparera de l’amour de Christ ? Sera-ce la tribulation, ou l’angoisse, ou la persécution, ou la faim, ou la nudité, ou le péril, ou l’épée ?
Selon qu’il est écrit :
C’est à cause de toi qu’on nous met à mort tout le jour,
Qu’on nous regarde comme des brebis destinées à la boucherie.
Mais dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés.
Car j’ai l’assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes, ni les choses à venir,
Ni les puissances, ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ, notre Seigneur.
Bible : Romains 8/33 à 39
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Pierre Raphaëlle PÄEZ,
                        je donne autorisation à tout individu, à toute association ou autre mouvement en accord avec les principes moraux cités précédemment à but humanitaire ou écologique et non lucratif, de reproduire cet ouvrage, de procéder fidèlement à sa traduction, et de le diffuser gratuitement selon son titre : le Principe PAEZ.
« Ce que tu as reçu gratuitement, donne le gratuitement » Jésus-Christ.
Je propose à tous les humains qui se reconnaissent citoyens de la Vie, de la Terre et du Cosmos de rejoindre les Artistes du XXIème pour la PAIX dans le Monde,
en participant activement à l’amitié et à la solidarité les uns pour les autres, et pour notre environnement,
et en divulguant cet ouvrage et la connaissance de L’UN intrinsèquement réversible.
Merci !

« PAIX, PAIX AUX HOMMES DE BONNE VOLONTE ! »
 
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Le principe PÄEZ :
L’UN intrinsèquement réversible



pour la définition
de l’infini
de la force unificatrice
du mouvement perpétuel
de la quatrième dimension
par le caractère intrinsèquement
double et opposé de toute chose
grâce à l’interversion simultanée
des directions de l’espace,
en faveur
de l’écologie sans frontière
de la santé
de la paix


 
              Je dédie également cet ouvrage aux voleurs de mes idées et de mes inventions.........
                                                                                                                                                                               textes protégés par dépôts légaux
 
 
 



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