©  copyright 
Œuvres,  photos, thèse, textes, définitions, créations techniques, protegés par plusieurs dépôts légaux

le-principe-paez.wifeo.com
 
31
A l’autre tant aimé et parti de l’autre côté du Temps
Au-delà de tout
en cette dimension
qui meurt sous le soleil,
mais situés juste
au commencement invisible
de toi libéré du passé
et au commencent invisible
de moi-même encore prisonnière,
dans la simultanéité et l’instantanéité
de l’UN
où se manifeste
la métamorphose alchimique
de notre véritable nature immortelle,
jamais nous nous quittons
toujours nous nous aimons.
32
Car, d'après L'UN intrinsèquement réversible, l'Univers avec tout ce qu'il contient y compris nous-mêmes est UN et consiste en la perception de L'UN formée à l'image de sa polarité prééminente.
En même temps que nous sommes immergés dans la perception de l'infiniment petit et du passé de l'Univers, nous en exprimons sa propre manifestation selon la direction universelle de cet infiniment petit et du passé.
C'est pourquoi nous connaître et connaître l'Univers selon la plénitude de l'infiniment grand et du futur, comme pour le cercle (figure 4), consisterait à renverser la direction de cette perception universelle de l'infiniment petit et du passé qui divise, éloigne, annule, grâce à l'observation consciente de l'Univers lui-même en tant qu'entité absolue et infiniment grande à partir de nous-mêmes vers lui-même, mais de manière intrinsèque à nous mêmes, afin de ramener la prééminence de la perception au macrocosme en soi, notre futur et notre infiniment grand.
Cette nouvelle manifestation de la perception nous unifierait en conscience à l'Univers en faisant de nous-mêmes l'Univers et de l'Univers nous-mêmes. Et nous nous percevrions comme nous percevons le cercle (figure 4), selon la plénitude ou l'homogénéité infinie et absolue de son infinité. Et nous serions en nombre infini ces géants, infiniment grands au sens spirituel, de l'antiquité éternelle qui transmute le royaume de l'atome, de la solitude, et du non être en celui de l'infinité des verbes pouvant affirmer "je suis" par l'unique perception du principe unificateur.
L'UN intrinsèquement réversible consiste en un dualisme dont les forces opposées sont ensemble caractéristiques de leur unité non pas selon 1 + 1, mais selon -1 ⊂ +1 +1 ⊂ -1.
( ) consiste dans le symbole mathématique qui signifie (intrinsèquement réversible).
Ce double aspect de L'UN ne dédouble pas L'UN d'avec lui-même pour en faire deux, mais reste égal à L'UN grâce à la particularité intrinsèquement réversible de L'UN.
Si bien que lorsque L'UN est manifesté selon l'une de ses réversibilités, celle-ci absorbe en totalité l'autre réversibilité et vice versa.
La réversibilité non manifestée ne cesse pas pour autant d'exister mais produit dans la réversibilité manifestée son influence.
33
Cette influence, qui résulte de l'opposition des natures de L'UN depuis la première réversibilité non manifestée à la seconde manifestée, constitue le déclenchement automatique du processus de l'alternance par l'attraction et la répulsion.
Et c'est parce que ce phénomène de l'alternance "attraction" "répulsion" a lieu en L'UN, qu'il peut perdurer indéfiniment et invariablement.
Ce phénomène de l'alternance, dans la réalité en trois dimensions, a lieu entre deux sujets ou deux éléments bien distincts l'un de l'autre et a donc besoin d'être relancé de l'extérieur à lui-même pour pouvoir continuer.
Mais en ce qui concerne la situation quadridimensionnelle de L'UN intrinsèquement réversible, ce phénomène d'alternance a lieu en lui-même grâce à l'opposition de la première réversibilité non manifestée incluse dans la deuxième réversibilité manifestée qui inversement et simultanément reste la réversibilité non manifestée de la première.
Ainsi, toujours intrinsèque à L'UN, cette alternance est perpétuelle, et fait de L'UN l'infini.
Cependant, étant donné qu'en L'UN, l'influence des manifestations opposées de cette alternance s'exerce réciproquement, l'une sur l'autre et vice versa de manière simultanée, le caractère perpétuel, infini, de L'UN est spontané en ramenant L'UN indéfiniment à lui-même, soit une infinité de fois pour faire de L'UN intrinsèquement réversible l'absolu, l'infini, et l'infinité.
Cette alternance automatique et perpétuelle d'une réversibilité à l'autre de L'UN intervertit systématiquement les directions de l'espace grâce à l'action simultanément réversible de la profondeur sur la hauteur et sur la largeur (figures 1 et 4).
Dès lors, que L'UN manifeste la mémoire universelle dans le cercle (figure 4), ou dans la cellule, l'humain, ou l'Univers, etc... sa profondeur n'a pas de limite, ronde et homogène comme le Tout, elle s'éloigne d'elle-même et revient en suivant l'ordre parfait du double rayonnement de l'interversion des directions de son espace intrinsèque qui, à jamais ouvert sur l'infini de son éternel commencement intrinsèquement réversible des points culminants de l'infinité des abîmes jaillis de part et d'autre de la hauteur et de la largeur, est toujours placé, et c'est là le miracle mathématique à l'origine du savoir faire technique même de la vie, à équidistance du Tout en lui-même juste pour que soit sans cesse ramenée à l'unicité de ses pulsations magnétiques l'incommensurable expression de sa multiplicité.
34
Précisément est-ce la profondeur des choses selon la conception mathématique de L'UN intrinsèquement réversible qui démystifie le fameux V.I.T.R.I.O.L. des alchimistes en lui permettant de soutenir principalement la biologie et la chimie par l'intervention technique sur tous les éléments constitutifs de la matière en général, comme cité plus haut en tenant compte de l'interversion simultanée des directions de l'espace de ces éléments :
"Visita interiora terrae rectificando invenies occultum lapidem" qui signifie "explore les entrailles de la terre et en rectifiant tu trouveras la pierre cachée".
"Explore les entrailles de la terre" qui signifie "pénètre dans la profondeur de la matière de ton corps comme de toute chose, et là, étudie les directions de son espace intrinsèque de sorte que la profondeur ne soit plus matière".
"Et en rectifiant" qui signifie "et en corrigeant ces directions de manière à retracer leur juste position, en sachant que chacune contient son inverse et que toutes expriment L'UN selon deux absolus contraires inclus l'un dans l'autre, le commencement et la fin".
"Tu trouveras la pierre cachée" qui signifie "tu découvriras l'intérieur invisible, cette nouvelle situation intrinsèque de la matière qui te révèlera la transfiguration de l'ancien ou de la finitude, c'est la vie éternelle et la toute puissance, la pierre philosophale".
Grâce à L'UN intrinsèquement réversible, cette pierre philosophale ramène son sens le plus profond au principe salvateur et universel de la Trinité dans la Bible.
On dit : Le Christ est intrinsèquement réversible de Satan et vice versa. Mais Le Christ n'est pas Satan, ni Satan Le Christ. L'un et l'autre n'ont rien de commun. Ils expriment les natures spirituelles totalement opposées de L'UN dont chacune de manière relative à elle-même manifeste absolument l'infinité.
Quand Le Christ est réversible de Satan de manière intrinsèque à Satan, c'est Satan qui manifeste L'UN selon la nature spirituelle, absolue et infinie de Satan, représentative de l'oubli éternel de l'infinité.
35
Ici, L'un exprimé par Satan qui, représentatif de l'oubli universel et absolu, néantise l'infinité est appelé bibliquement "le diable".
Inversement et simultanément, quand Satan est réversible de Christ, de manière intrinsèque à Christ, c'est le Christ qui manifeste L'UN selon la nature spirituelle, absolue et infinie de Christ, représentative du souvenir éternel de l'infinité.
Et ici, L'UN, exprimé par le Christ qui est représentatif du souvenir universel de l'infinité, est appelé bibliquement "le Père".
Cette nature spirituelle de Christ, absolument bonne qui constitue dans la mémoire de L'UN le souvenir universel de l'infinité, est appelée bibliquement : le Saint Esprit.
Inversement, la nature spirituelle de Satan qui constitue dans la mémoire de L'UN l'oubli éternel de l'infinité, fait de cette infinité en Satan une réalité à part entière et absolument néantisante à l'origine du mal par la destruction des choses établies.
Dans ce contexte, l'infinité consiste dans la substance même de la mémoire absolue entre oubli et souvenir, l'oubli qui détruit et annule l'infinité, et le souvenir qui restaure et établit cette même infinité.
Cependant, comme entre le souvenir universel et l'oubli universel, le seul qui puisse réellement se revendiquer du fait d'être reste le souvenir universel, c'est donc dans le Saint Esprit par le Christ que L'UN peut s'engendrer, s'accomplir, et se perpétuer.
C'est en cela que L'UN est appelé "le Père" par le Saint-Esprit, et qu'il est appelé le Fils unique par le Christ .
La nature de Satan qui ramène l'infinité à l'expression la plus absolue de l'oubli en L'UN par le diable selon le néant est intrinsèquement réversible de la nature de Christ qui ramène cette même infinité à l'expression la plus absolue du souvenir en L'UN par le Père selon L'Eternel. Et vice versa.
Le néant autodestructeur symbolisé par le principe absolu du diable en tant qu'oubli universel qui s'exprime en Satan pour la destruction et l'annulation des choses éternelles, quand inversement et simultanément, en L'UN, le principe absolu auto-générateur du Père en tant que souvenir universel se révèle et s'exprime par le Fils en Christ pour la restauration et la pérennisation de ces mêmes choses éternelles.
Etant donné que l'infinité est sauvegardé intacte dans le Christ, c'est le Christ qui peut la rendre à la perception d'elle-même selon la plénitude du commencement ou du futur dont il est inversement l'expression universelle portée dans le sein de chaque manifestation de  cette infinité.
36
En cela, le Christ, qui est la forme spirituelle, parfaitement bonne et sainte, en représentation synthétique du Père, est-il à la fois le Sauveur universel quand il sauvegarde en lui le souvenir universel de l'infinité, et le Sauveur personnel à chacune des expressions de l'infinité, quand il accomplit en chacune le souvenir universel de cette infinité.
Jésus-Christ peut dire "je suis en vous et vous êtes en moi, et je suis dans le Père". (Bible)
Car Jésus est l'incarnation du Christ, c'est-à-dire que le Christ s'accomplit dans la personne charnelle de Jésus grâce à Jésus qui est parvenue à la fusion spirituelle avec le Christ.
La personne charnelle de Jésus consiste dans l'incarnation du Christ grâce à la fusion spirituelle de Jésus avec le Christ.
En effet, grâce à la fusion spirituelle délibérément réalisée par Jésus avec le Christ, Jésus en tant qu'être de finitude révèle dans cette dimension néantisante de l'infinité, en L'UN, sa véritable identité spirituelle dans le Christ qui lui est intrinsèquement réversible et dont la manifestation éternelle, a lieu en la dimension d'infinitude de cette même infinité.
Tandis que la dimension néantisante de l'infinité revient, dans l'oubli universel en L'UN, au diable par Satan, le Christ, qui inversement exprime le souvenir éternel de cette infinité, incarné en Jésus précisément dans cette dimension néantisante, peut accomplir le sacrifice de lui-même dans la chair en révélant au travers de la chair la perfection de L'Esprit, afin que soit ramenée de l'oubli universel en L'UN par Jésus, l'infinité absolument dans la perception qui vivifie et immortalise son souvenir universel.
C'est pourquoi, Jésus exprime à la fois l'incarnation personnifiée du Christ et individualisée de l'infinité dans le Christ.
Jésus est le Christ incarné.
C'est pourquoi, , cette infinité est sauvegardée dans le souvenir éternel de L'UN, le Père, grâce au Christ en Jésus qui en exprime la conscience universelle, la vie.
37
Et c'est pourquoi, le principe de la foi en Jésus-Christ consiste dans la puissance salvatrice de la perception qui réhabilite dans la conscience individuelle de chaque manifestation de l'infinité, depuis l'ignorance fondamentale de l'oubli universel dans le diable, la connaissance primordiale du souvenir éternel afin que soit vécue indéfiniment par le Fils la sainte et unique vérité spirituelle du Père.
D'après L'UN intrinsèquement réversible, on ne peut parler de la Trinité selon le Père, le Fils, et le Saint-Esprit, comme étant trois personnes bien distinctes les unes des autres, ni même consubstantielles les unes aux autres. Car du Père, du Fils, et du Saint-Esprit, il s'agit du principe de L'UN associé au titre de Père en tant que volonté auto-génératrice de l'infinité exprimée par le Christ en accomplissement de la perfection absolument sainte c'est-à-dire juste, bonne, et pacifique de son Esprit de vérité dans l'être charnel de Jésus.
En L'UN intrinsèquement réversible, L'UN selon le diable par Satan qui annule la perception de la gloire de la sainteté spirituelle, rend à L'UN selon le Père par le Christ Jésus, la primauté de cette perception dont absolument le Christ en Jésus en est le révélateur.
C'est pourquoi, le Christ Jésus, en tant que révélateur unique de la triple action en lui-même du Père, du Fils, et du Saint-Esprit, reste en L'UN intrinsèquement réversible, le seul Dieu qui à la fois génère, perpétue et sauve l'infinité par l'interaction simultanée de l'infinité comprise dans le souvenir universel du Christ qui peut l'accomplir en l'être charnel de Jésus, et de Jésus qui ramène avec lui dans ce souvenir universel du Christ chaque manifestation de cette infinité.
Cette infinité, qui constitue la mémoire absolue de L'UN, est conservée intacte par l'universalité du Christ en l'être unique de Jésus.
Ainsi, la Trinité, telle qu'elle est admise actuellement consiste en une erreur de discernement en conséquence de l'ignorance mathématique de L'Un intrinsèquement réversible dont le dualisme révèle l'unique en faisant prévaloir le vrai sur le faux par l'Etre pour ce qui commence en terme de futur (l'alpha) en opposition au non-être pour ce qui finit en terme de passé (l'oméga).
Quand ce dualisme qu'est L'UN intrinsèquement réversible, oppose dans la perception universelle l'Etre au non être selon la prééminence consciente du non être sur l'Etre, c'est le Dieu unique et véritable du Christ en Jésus qui se trouve mis en état d'opposition au non-dieu dont la représentation illusoire mais prédominante de cette adversité s'inscrit comme étant réelle dans cette conscience.
38
Cette analyse, d'après les caractéristiques mathématiques et métaphysiques de L'UN intrinsèquement réversible, du sens fondamental de la Bible en concomitance avec les préceptes alchimiques, remise à la science, peut lui permettre de parvenir à appliquer sur l'être en totalité par l'interversion simultanée des directions de son espace intrinsèque les procédés techniques de la régénération en extériorisant non plus sa nature animale, vulnérable et finissante, mais contrairement sa nature spiritualisée, invulnérable et éternelle. Car les procédés techniques de la matière même de la vie d’après L'UN intrinsèquement réversible, restent les mêmes en ce qui concerne le fait de remonter le Temps et d'en intervertir le champ de l'espace par l'inversion de ses directions, qu'il s'agisse du cercle (figure 4), de la cellule, etc... ou de l'être humain en totalité.
Cependant, ces procédés techniques compris et maîtrisés, puis appliqués à la nature du Temps pour intervertir l'ordre infini de l'Univers, ramèneraient de manière radicale à la perception universelle le monde spirituel et unifié de notre infinitude dont il engloberait simultanément la manifestation matérialisée et désunie de notre finitude en laissant reparaître ceux que nous appelons "nos morts".
« Voici, je vous dis un mystère : nous ne mourrons pas tous, mais tous nous serons changés, en un instant, en un clin d'oeil, à la dernière trompette… et les morts ressusciteront incorruptibles… » (Bible)
La science, préparée et adaptée aux caractéristiques techniques inspirées de L'UN intrinsèquement réversible, permettra à l'humanité d'accéder au réveil radical de la conscience en procédant à la résurgence en elle de son passé comme du passé de l'Univers pour les restituer à la perception universelle du futur.
En cela, conviendrait-il à la science d'agir à partir des organes des sens pour la rectification des directions de l'espace dans la perception des choses au passé afin de parvenir à saisir en une seule pensée toute la connaissance.
Car, les organes des sens que sont la vue, l'ouïe, l'odorat, le toucher, le goût, commandés par le cerveau, ne perçoivent rien par eux-mêmes. Etant rendus vivants par le fait de l'interaction de la nature spirituelle d'infinitude dans la nature charnelle de finitude à laquelle ils
39
appartiennent, c'est la nature spirituelle qui perçoit à travers eux de manière relative à l'état général de la conscience.
Les organes des sens, comme le corps tout entier, canalisent le film substantiel de la mémoire en en recevant depuis le futur le déroulement des informations, puis en transformant le sens du déroulement de ces informations dans le passé afin de le renvoyer totalement interverti dans le champ de la perception saisie et sensibilisée par la conscience d'être qui, dans cette perspective détournée de son vieillissement et de sa mort, ne sait plus son admirable infinitude.
Si bien que c'est l'être de finitude qui reste tout entier le siège de l'esprit, tandis que le cerveau ne consiste que dans les commandes de pilotage de la perception dans la mécanique néantisante du monde de l'atome pur en l'entité humaine.
Ainsi, la transmutation de la perception dans la forme en soi toute spiritualisée qui exprime l'infinitude fait de la totalité de cette forme l'organe sensoriel même de la vie capable d'émettre et de recevoir totalement l'impression de la mémoire en une seule et infinie sensation.
C'est dans ce grand réveil de la conscience de l'humanité capable de bouleverser l'ordre de sa perception dans le sens du futur en Christ que consiste la résurrection.
Mais au fur et à mesure que le Temps s'écoule à la perception universelle des choses au passé, cette résurrection n'a de cesse d'avoir lieu de la même manière que l'être d'infinitude existe dans l'être de finitude.
En effet, d'après L'UN intrinsèquement réversible, "la mort" s'entend comme étant étendue à la perception universelle de la finitude qui inclut en son sein en la recouvrant celle d'infinitude.
Aussi, autant dire que l'Univers tel que nous le percevons ainsi que tout ce qu'il contient y compris nous-mêmes, étant pris dans ce courant néantisant de toute chose réversible en lui-même du courant vivifiant de toute chose, consiste dans l'étendue spatio-temporelle relative à la perception de la mort. Il s'agit en totalité des temps de la fin en soi de manière universelle à l'infinité comme de manière individuelle pour chacune des manifestations de cette infinité.
 
 



Créer un site
Créer un site