Le départ de la perception se retrouve au point de son arrivée sans que soit changer le sens de cette observation. A l'arrivée en y , x' est inclus dans y : x ----->x' ⊂ y.
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Cette unité de la perception permet à x par x' de rattraper y.
Depuis x , c'est x lui-même qui devient x' en se retrouvant en y d'où cette même distance x vers y est perçue comme étant accomplie.
Ici, l'observateur dont la perception se porte depuis x vers y , mais selon x par x' inclus dans y , perçoit cette distance non plus depuis x vers y c'est-à-dire comme devant être accomplie, mais depuis x' inclus dans y c'est-à-dire comme étant accomplie.
Depuis x l'observateur perçoit donc en lui-même l'accompli, le passé. Ainsi, est-ce grâce à l'intro-réversibilité des polarités x (le départ de la perception) inclus dans y (l'arrivée de cette perception), que l'observateur placé en x ne peut percevoir en y que son propre passé même si pour lui, indépendamment de y le passé n'est pas encore accompli.
Notre observateur projette sa perception en direction du passé c'est-à-dire en direction de ce qui est accompli.
Inversement, le sens de l'aller de la perception qui marque le futur de x , perçu
depuis x vers y : x ----->y , établit le sens inverse du retour de cette même perception
depuis y vers x : x ----->y , en marquant ici la distance devant être accomplie depuis y , c'est-à-dire le futur de y.
Cependant, étant donné que notre observateur placé en x perçoit y selon x par x' inclus dans y , le caractère d'indivisibilité de cette perception grâce à la force unificatrice de son intro-réversibilité, inclut inversement y dans x en en faisant y' inclus dans x : (y' ⊂ ) x ----->(x' ⊂ ) y
Ainsi, sans que le sens de l'aller de la perception x vers y ne varie, le sens de l'aller et le sens du retour de cette même perception ont lieu simultanément par ses polarités intrinsèquement réversibles l'une de l'autre : x' inclus dans y et y' inclus dans x.
Et tandis que le passé a lieu dans la perception portée depuis x vers y selon x' inclus dans y, le futur inversement a lieu dans cette même perception depuis y' inclus dans x vers y.
x marque la "fin" de la perception portée depuis y , quand y marque le "commencement" de cette perception portée depuis x.
Car notre observateur placé en x est situé dans le passé déterminé par la fin du sens de la perception depuis y' inclus dans x vers x' inclus dans y qui ramène x à lui-même par x'.
On dit : x-----> y
y'-----> x' = x
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Etant donné que y' vers x' (y'-----> x') double en l'inversant la perception qui consiste dans le
futur de y , soit y vers x (x-----> y), y' vers x' consisterait également dans le futur de y par y' si la polarité dominante du sens de cette perception n'était pas x mais y'.
Or, le sens de la perception y' vers x' ayant lieu depuis la polarité dominante x : (y' ⊂ ) x-----> (x' ⊂ ) y , c'est x qui par excellence peut se percevoir lui-même en x' inclus dans y , sans que cette perception ne soit extérieure à lui-même et donc ne sorte du passé ; car lorsque la perception a lieu depuis x vers x' inclus dans y , ce sens de la perception manifeste l'accompli depuis x' situé en y.
La perception, étant intrinsèquement réversible, consiste en l'unicité de ses doubles directions contraires l'une à l'autre, mais chacune incluant l'autre, si bien que chacune ramène l'autre avec elle en exprimant en totalité la polarité qui la gouverne.
Par exemple, quand notre observateur placé en x projette sa perception en y, simultanément cette perception est double dans le sens de y' vers x' , mais comme étant perçu depuis x.
Ici, la perception ayant lieu depuis x vers y , notre observateur placé en x perçoit x' en y ; plus précisément depuis x perçoit-il y selon x' inclus dans y.
Ainsi, quand notre observateur placé en x croit être dans le commencement de sa perception, est-il justement dans la fin de cette perception.
La perception de notre observateur placé en x en direction de y est relative à x par x' inclus dans y.
Et cette perception étendue depuis x vers x' inclus dans y correspond à son annulation. Dans ce contexte, la matière en substance de la perception n'a plus lieu, et l'observateur exactement perçoit ce qui a cessé d'être mais selon l'impression néantisante, en sa perception, de ce qui a été.
Cependant, cette même perception, intrinsèquement réversible, établit sa pérennisation par y' inclus dans x vers y ; car ici la perception depuis y' inclus dans x est relative à y.
C'est pourquoi lorsque l'observateur projette sa perception depuis x vers y , il ne peut percevoir que "l'ayant lieu" dans le futur entrain de s'annuler, c'est-à-dire le passé.
Cet observateur, étant ici dans l'accomplissement de ce qui existe dans le sens de la finitude, pourrait dire que ce qui est a déjà été, et par conséquent n'est plus.
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Pour que notre observateur placé en x perçoive non plus le passé mais le futur, il lui faudrait inverser la polarité de sa perception x en la polarité y' afin que cette perception s'étende non plus depuis x vers y mais depuis y' inclus dans x vers x' inclus dans y .
Car ainsi l'arrivée précède au départ.
Ici, notre observateur percevrait ce qui sera accompli comme étant accompli.
Et il pourrait dire que ce qui sera a déjà été pour, de manière authentique, être indéfiniment.
Car Le Temps ramène ce qui est passé en faisant du passé et du futur la double réalité de la perception intrinsèquement réversible (et donc contraire) l'une de l'autre, chacune s'accomplissant par l'autre et chacune rattrapant l'autre selon la prépondérance de l'une sur l'autre et vie versa.
L'interaction de ces deux polarités du passé et du futur dans la perception détermine la fibre élastique du Temps dont la réciprocité magnétique entre "avant" et "après" le manifeste selon la représentation consciente du souvenir et de l'oubli.
Mais est-ce la prépondérance dans la perception de "avant" sur "après" ou inversement qui détermine la nature de cette représentation consciente du souvenir et de l'oubli.
C'est pourquoi, la perception canalise la conscience sur l'une ou l'autre de ses deux représentations du souvenir et de l'oubli en en faisant son immanence.
C'est pourquoi, la perception structure la conscience selon l'une ou l'autre de ses deux représentations du souvenir qui appartient au futur et de l'oubli qui appartient au passé.
C'est pourquoi, L'UN intrinsèquement réversible fait du Temps qui n'existe que dans la perception, par la prépondérance de la représentation consciente de l'oubli sur le souvenir en faveur du passé contre le futur, la forme anéantie du non être, et inversement par la prépondérance de la représentation consciente du souvenir sur l'oubli en faveur du futur contre le passé, la forme réalisée de L'Etre révélé à lui-même.
Bien que les deux situations de l'Etre et du non être soient manifestés simultanément, chacune étant intrinsèquement réversible de l'autre, c'est la force de la perception qui en redonne à la conscience, pour l'une ou pour l'autre, la prééminence.
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Par l’alternance dynamique
de la fermeture et de l’ouverture,
de la finitude et de l’infinitude,
qui voit chaque direction,
non seulement se compléter
de manière simultanée en son inverse,
mais être en substance
à la fois l’espace et le temps
où en définitive se succèdent,
les uns dans les autres,
les uns devenant les autres, mouvements d’expansion et de récession,
L’UN intrinsèquement réversible
dévoile le mystère à l’origine
de son incessante respiration,
ce fameux souffle de vie
en lequel toutes les situations
du passé et du futur, du néant et de l’éternité,
ont lieu et se transposent les unes aux autres.
Si bien que même si tu l’as oublié,
hier et demain c’est aujourd’hui !
lui ou elle ou eux c’est toi !
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Le génie de l'intro-réversibilité est d'intervertir les directions de l'espace dans la perception en préservant le sens unique de son orientation à l'intérieur de la polarité perceptrice.Ce qui à priori nous apparaît comme un paradoxe d'après nos conceptions habituelles de la distance et de la relativité, dénonce toute la logique et
la subtilité de la force unificatrice de L'UN intrinsèquement réversible en le situant dans la perspective d'une révolution de la technique en réponse à toutes les espérances de la médecine qui devra tenir compte en priorité des pouvoirs techniques d'accumulation, d'amplification et de restitution que ce principe exprime de manière fondamentale et universelle par le phénomène de la mémoire.
Car L'UN intrinsèquement réversible : " " est la démonstration mathématique de la mémoire absolue manifestée dans la perception en faisant de toute chose le phénomène de cette mémoire (figure 4).
La vue d'ensemble de la géométrie du cercle (figure 4) en représentation des caractéristiques mathématiques de L'UN intrinsèquement réversible, permet d'appréhender ce cercle comme étant essentiellement l'expression du phénomène de la mémoire.
On peut observer ici, en ce qui concerne la géométrie du cercle (figure 4) qui peut être ramenée à la mémoire, la surface dont tous les déploiements comme des vagues parfaitement régulières, chacune étant double en son inverse, se rencontrant elle-même et inversement et simultanément s'éloignant d'elle-même, se développeraient depuis le centre vers l'infini et vice versa, à la fois dans toutes les directions, hauteur, largeur, profondeur, donnant lieu à l'infiniment petit et à l'infiniment grand l'un dans l'autre, chacune pouvant exister dans le Tout et le Tout en chacune, en faisant ainsi du Tout le centre, selon deux principes en L'UN puisque étant intrinsèquement réversible l'un de l'autre, "ce qui commence" et "ce qui finit", mais dont le commencement et la fin, bien qu'organisant le Tout dans sa complexité absolue et infinie, resteraient inexorablement insaisissables, à moins d'une perception exclusivement au futur indépendamment de toute notion de ce qui est passé.
Cette structure représentative de l'infini en accomplissement de L'UN intrinsèquement réversible qui se révèle pouvant être dans la perception aussi grande qu'un "point" et même infiniment petite en contenant le Tout sans jamais sortir de L'UN, c'est la mémoire absolument.
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La mémoire toujours active et productive, étrangère aux notions de poids, de grandeur, et de masse, ramenant de manière spontanée à la limite indéfiniment actualisée de son centre, les résurgences en nombre infini du laboratoire accumulateur et transformateur de son souvenir universel, indivisible et immuable.
Cette approche de la structure absolue et infinie de la mémoire d'après les caractéristiques mathématiques de L'UN intrinsèquement réversible ouvre à la science un champ d'études et d'applications techniques et technologiques de l'ordre de tous les possibles, mais plus sensiblement dans les domaines de la médecine et de la psychanalyse.
Comme la mémoire, comme toute chose, la cellule par exemple rassemble les principes fondamentaux de L'UN intrinsèquement réversible pour en expliciter son phénomène d'auto-production à l'infini.
Comme pour le cercle pris pour exemple (figure 4), il n'est plus question de la résolution des contraires en une troisième entité comme étant le produit des deux autres, mais précisément l'inverse, L'UN qui contenant le couple antinomique du commencement et de la fin permet à chacun sa manifestation absolue sans pourtant jamais cesser d'être L'UN, de sorte que chacun de ces contraires exprime selon sa nature respective, L'UN absolument, en maintenant à l'infini sa pérennité ; ce qui résulte en L'UN de l'inversion intrinsèque des directions de l'espace d'un contraire à l'autre de lui-même.
Cette inversion simultanée des directions de l'espace en la cellule élabore à l'intérieur de la cellule le même processus que pour le cercle (figure 4) en la mettant en situation spontanée d'auto-création.
De même que l'infini (figures 1, 2, 3, et 4) n'est pas le produit d'une multiplication, ni d'une reproduction, mais un processus unique de résurgence spontanée de lui-même intrinsèque à lui-même, la cellule n'est plus une multiplication à l'infini d'elle-même, mais consiste précisément en une unique création d'elle-même se contenant elle-même en nombre infini de manière simultanée et dans toutes les directions de son espace intrinsèque.
De ce fait, la cellule est-elle en situation spontanée d'autocréation en rattrapant le Temps accompli en elle-même, c'est-à-dire en se rattrapant elle-même dans la perception à double dimension inversée de son espace intrinsèque, et de manière simultanée d'autant que l'infini a lieu partout en l'unité de cet espace.